L’univers m’enchante et offre une belle rejouabilité avec tous ces machins à construire et une bonne courbe de progression aussi. Pour ma part, c’est un coup de cœur qui ne demande qu’à être confirmé.
Un guessing familial, mignon, hasardeux puisqu’on ne verra pas toutes les cartes, mais un peu trop mer d’huile pour qu’on se passionne pour la faune marine.
Le jeu fonctionne bien et conserve son esprit d’origine, ne bouleversant pas grand chose. Bizarrement, je le trouve moins drôle et j’ai moins de plaisir à y jouer que lorsqu’il était dans sa grosse boîte.
En théorie, tout est nickel. Quand on joue, moins. Le hasard est présent (il devient plus chaotique encore en mode assaisonnement), le fait de devoir perdre un tour pour remplacer des cartes peu intéressantes est plus souvent un frein ...
Si en théorie, ça a l’air malin, on fait surtout ce que l’on peut. Le fait de pouvoir garder son chien pour plus tard et doubler les effets avec un second animal ne redynamise pas un jeu qui manque cruellement… de chien.
Pas adepte des jeux solos, cette visite des fiefs de Norbois a réussi à me prendre par la main pour la balade. Comme quoi la politesse et la bienveillance…
Si vous êtes nombreux et que vous prenez ce Mino dice pour ce qu’il est : un jeu apéro méga chaotique, vous allez vous marrer, pester et jubiler. Si le hasard vous chagrine, fuyez ce labyrinthe !
Même à 5 ça coince par moment, et surtout on ne bénéficie pas de La Souris Émissaire qui fausse la donne en essayant qu’un maximum de rongeurs votent pour elle. Un peu surproduit avec ses gobelets, mais marrant comme tout.
Après quatre parties, le jeu est toujours aussi plaisant, nous sommes plus à l’aise avec nos bambous. Les scores sont toujours aussi serrés. Il n’y a pas de stratégie gagnante, il faut composer.
Il demande une partie entière et même plus pour être apprivoisé, il a sa petite particularité qui le rend unique et qui fait qu’il mérite à mes yeux d’exister aux côtés de titres comme Nokosu Dice, Tatsu, Aurum, et bien d’autres.
Le résultat est plaisant. Si on est habitué à ce type de jeu, il sera sans réelle surprise, si on est fan de Manhattan Project, on lui préférera d’autres titres de la gamme, si on cherche un jeu d’optimisation fonctionnel, il conviendra.
J’attendais ce titre avec une certaine fébrilité, [...], mais au final je suis un peu déçu, je ne peux pas dire que ça soit un mauvais jeu, disons qu’il m’a pas marqué, au-delà de certains choix mécaniques malins.
Un thème mis en valeur par des illustrations colorées et évocatrices, un soin porté à l’édition d’un façon générale, tous ces points en font un titre qui, sans que ce soit le coup de cœur de l’année,me donne bien envie de refaire une partie
Je ressors surpris de ce jeu : quelque part, sa pose de tuiles déconcerte alors qu’il ne s’agit que d’hexagones redessinés. On perçoit précisément les artifices du système tout en se laissant embarquer par la choupissonnerie et le feel good
Il y a bien une jolie trouvaille en termes de matériel pour l’épisode 2, mais les trois autres sont ludiquement un peu pauvres (même si l’histoire reste intéressante de bout en bout).
C’est un simple jeu de collection qui ne renouvelle pas grandement le genre mais qui offre l’intéressante possibilité de lire le jeu des autres et de tenter de deviner ce que cette personne va chercher à obtenir.
C’est simple mais assez addictif de se confronter à cette forme de mémorisation. À essayer, même si c’est pas pour toutes les formes de mémoire. Un bon Oink, ça se fait rare !
Le résultat chez nous a donc été que le jeu a assez vite lassé : adulte comme enfant n’appréciant que l’un doive laisser l’autre gagner. Mon avis est donc à relativiser : une partie avec uniquement des enfants donne peut-être des résultats différents.
Evacuation n’est pas un mauvais jeu, il a même, comme nous le rappelions, été 4e au diamant d’or. Il est vrai que cela fonctionne très bien à la fois mécaniquement et thématiquement, mais on n’est pas emporté par la proposition.
Unmatched Chroniques Inouïes propose du Unmatched en coopération, et il le fait bien. Sobrement, sans renverser la table, parfois un peu sèchement, mais très proprement.
Le principe de base de Crime zoom est décliné dans un point & click sur un thème île au trésor. Même s’il correspond parfaitement à la thématique, le style pixel art des illustrations ne m’a pas trop plu et surtout il a été un obstacle...
La mécanique d’association objet-lieu serait perfectible puisqu’il y a trop de possibilités de se spoiler les autres réponses.
Malgré ces quelques défauts, j’ai trouvé les textes bien écrits (ce qui n’est pas toujours le cas dans ce type de jeu et mérite donc d’être signalé) et le scénario intéressant. Je garderai donc un œil sur cette nouvelle gamme.
J’ai toujours cette impression de jeu expert pas mal mais pas incroyable. Mais est-ce que je condamne Windmill Valley pour autant ? Ben non. J’ai bien aimé sans avoir eu le coup de foudre...
Quand on regarde certains jeux de pose de tuiles actuels, Petite Mer revient à un plaisir de jeu bien plus simple, bien plus viscéral. Difficile de bouder son plaisir.
Le jeu aurait pu totalement basculer du côté du Serious game et être complètement “boriiiiiiing”. Malgré son message clair, il reste amusant, et le challenge est intéressant, sans se départir de son aspect sérieux
Pour une fois le thème Nature est parfaitement exploité et justifié. Après une dizaine de parties, je prends toujours autant de plaisir à y jouer et à le faire découvrir.
Bien plus agréable que ce que nous avions cru en débutant la partie, ce jeu, grâce à des petits points de règles, parvient à proposer des parties animées. [...] Facile, familial, avec le petit plus qui fait la différence. Pile ce qu’il faut
Ce jeu ne réinvente pas le flip & write mais propose un peu d’aventure, de choix simultanés, de petits effets combo bien agréables, et une petite course qui nous permet de relever un peu son nez de sa feuille.
(...) Pour moi qui n’avait pas adoré Wingspan, et bien sans surprise, je n’ai pas le coup de cœur non plus pour sa version dragon, cela reste une version 2.0. On est toujours dans un exercice solitaire à plusieurs...
L'objectif ici, on le verra dans la dernière évaluation de la campagne, est pas tant de faire de nous des machines performatives que de nous avoir fait passer un agréable moment.
Missions réussie, qui nous donne bien envie de voir ce que les autres de la gamme nous réserveront !
On pourra pester sur l’inutilité de tout ce décor et le coût du jeu, mais il n’empêche que l’immersion et l’amusement sont là. Si votre salon recèle un coffre au trésor, vous pouvez vous laissez tenter.
Je retiens que l’effort de projection lié à l’accomplissement de mes objectifs aura été surtout un peu laborieux – pas au sens de la difficulté de réaliser l’objectif, mais plus au sens de “ça manque de fun, cette histoire”.
Mais la mayo n’a pas pris, je me suis un peu ennuyé dans ce jeu. Peut-être parce que le casse-tête me semblait moins créatif que celui qui se cache derrière un jeu de lettres et de mots...
Un jeu qui procure sa dose d’adrénaline quand le tirage est au rendez-vous. Certaines parties sont moins trépidantes, pas grave, on y retourne volontiers.
Pour ma part, je n’ai pas retrouvé les sensations du jeu original, et le jeu ne propose pas assez de renouvellement pour vouloir enchaîner les parties. Au contraire de Sim’Meeple, qui a beaucoup apprécié jouer chaque rôle alternativement.
Il s’agit d’une vraie déception, car la proposition était vraiment intéressante, et l’édition ne souffre pas de défauts majeurs. Mais le concept, malgré son originalité, a trouvé ses limites avec mes enfants...
Soyons honnêtes. Quand on a fait le premier niveau de Paper App Dungeon, on les a tous faits. La seule différence d’un niveau à l’autre est l’ordonnancement des monstres et trésors, et l’emplacement des murs....
/!\ SOLO :
En définitive, le mode solo de Discordia permet au joueurs persévérants et amateurs d’optimisation de passer de bons moments pour 5 à 10 parties, mais il aurait mérité un peu plus d’investissement.
Presque tout s’anticipe, se calcule, l’immersion dans le thème est très réussi. Seulement à trop vouloir en faire, nous gagnons en réalisme ce que nous perdons en qualité de gameplay. Alors certes, en l’état il y a bel équilibre entre les différentes ressources, mais il peine à trouver sa place. Pas assez stratégique pour vraiment faire mouche auprès des joueurs experts, ses règles sont trop touffues pour entrer dans la catégorie initié. J’y jouerais de temps en temps avec plaisir pour sa thématique bien restituée et son côté exploration, en essayant tant bien que mal de n’oublier aucun coût d’action.
Pas vraiment original, manquant de profondeur pour des gros joueurs, n’étant pas équilibré au poil de…Oui. Mais quand un jeu nous emporte, qu’on ne voit pas le temps passer et qu’on sort satisfait de sa partie, alors le pari est réussi. On peut dire que Karvi nous a ravis.
Pour ma part, qui suis amateur de jeux en solitaire, j’ai été conquis. Sans égaler des titres exceptionnels tels que Legacy of Yu ou Under Falling Skies, je le place sans hésiter parmi les titres les plus intéressants du genre.
Un jeu de plis bien présenté (même si je suis dubitatif sur la nouvelle forme de boîte en biseau), sympathique mais qui, malgré tous ces artifices, ne sort pas non plus du lot.
La partie peut s’éterniser en mode ping pong de je te vole, tu me voles… Niveau ambiance c’est plat, ultra hasardeux et trop long. Si c’est pour jouer à la Bataille ou au Uno, pourquoi ne pas jouer au Uno ou à la Bataille ?
Oya a pourtant le nez creux en général, pas ici avec un énième sous Skyjo chaotique dont le principe de carte recto verso ne sert pas à grand chose. « Quand je veux j’arrête ! » nous dit l’accroche. D’accord, salut !
Entre ce que l’on cherche à obtenir et à garder, et ce que l’on doit bien lâcher, cet Inheritors propose un enjeu qui ne manque pas d’intérêt et de tension.
Comme pour un bolide de courses, les auteurs ont réussi un parfait réglage de leur jeu, en trouvant la balance adéquate entre tactique, fun, fluidité, et accessibilité, le tout avec une belle dose de rejouabilité.
Je me demande si je jouerai encore à l’ancienne version. Il est vrai qu’avec tous ces ajouts, Insurrection est plus costaud, mais vraiment rien d’insurmontable même pour des gens qui n’ont jamais joué au premier, d’autant qu’il est plus ouvert que l’autre. Sincèrement, cela fait très longtemps que je n’avais pas été aussi enthousiaste en découvrant un jeu. Après mes quatre parties, j’ai hâte de rejouer, encore et encore.
Bomb Busters n’est pas un jeu pour tout le monde, il dénote réellement dans la gamme de son éditeur. Mais franchement, ce n’est pas du tout pour me déplaire. J’ai vraiment envie d’y jouer et d’y rejouer.
Même si je trouve la prise de risque intéressante et très stimulante, j’ai fort peu apprécié les moments de grande malchance qui ont été un tournant de la partie. Le principe de tir à la corde est le vrai ajout intéressant de cette version.
Je dois dire que mes enfants l’apprécient, principalement pour les différents effets des cartes qui sont rigolos. Mais ils regrettent eux aussi le fait de devoir jouer nos cartes « au pif » trop souvent.
On reste mécaniquement et thématiquement dans une parfaite continuité avec le jeu de base. Si vous recherchez un renouvellement du gameplay, ou bien une narration qui sort des sentiers battus, vous passerez à côté. Si vous avez aimé Oltréé et en voulez encore plus dans la même mouture, alors c’est tout bon ! Pour ma part, je dis youpi.
Fil Rouge est une expérience où la mécanique tente de s’effacer derrière l’histoire. Surtout, il se place dans le registre des émotions, nous prend par les sentiments, nous chahute, nous bouscule....
Un petit goût de reviens-y pour les amateurs de majorités, qui d’ailleurs fonctionne d’ailleurs très bien à deux. Le tout a le mérite d’être compact, que ce soit en termes de place et de durée.
Botanicus ne renouvelle pas le genre mais ce qu’il fait, il le fait bien et le résultat est plus que satisfaisant. Les multiples ajouts de la variante et les petits détails du jeu en général mènent à un ensemble de bon niveau.
Djinn est une très bonne découverte, dynamique, intéressante. Bien que ne sortant que peu des sentiers battus, il a su me surprendre par l’expérience qu’il propose, et l’envie de me remettre à la chasse aux djinns à plusieurs reprises.
Ben, ça tourne. Mais c’est pile poil la définition du ok game pour moi : ça sollicite un peu, ça frustre un peu, ça ne fait rien de façon folle, ça manque d’aspérités. [...] Donc j’ai du mal à cerner le public, sans, en plus, être conquis par l’univers ludique proposé.
On a certes vu Kane Klenko plus inventif dans ses propositions en forte interaction (Mission pas possible), Nunatak est néanmoins agréable si on aime le multi scoring et montre cette part d’originalité due à sa prise de hauteur, mais ne renverse pas les codes établies de la collection.
Ma partie n’a pas été du tout gratifiante avec des choix par défaut la plupart du temps. Malgré tous ces clients différents en acrylique qu’on passe son temps à regarder et qui visent sans doute un public familial, la partie est un peu longue et fortement frustrante.
Ce n’est pas “ma came”, j’aime bien quand les jeux ont plus de tension, mais j’ai trouvé le jeu agréable, son thème est bien respecté, c’est joli et c’est rapide, on a joué à deux en 45 minutes. Je n’y rejouerai pas avec un public expert, mais je me laisserai tenter avec plaisir avec un public plus familial.
C’est simple, pas dénué de réflexion, et les illustrations de Edu Valls mettent tout cela en valeur. Un bon jeu qui à mon avis est plus intéressant dans des configurations basses, à deux joueurs où l’on aura la totale maîtrise, ou à trois où j’imagine qu’il y aura un juste dosage entre maîtrise et opportunisme.
Je suis un peu déçu peut-être parce que j’en attendais beaucoup, mais j’ai quand même envie de voir ce qu’il a dans le ventre, c’est quand même difficile d’être catégorique après une première partie dans un contexte de salon.
On aime y retourner pour découvrir de nouveaux tours, essayer de nouvelles combinaisons d’actions, et le faire jouer aux petits et grands amateurs de lévriers, bichons, corniots et autres clebs cabotins. La meilleure configuration restera deux ou trois joueurs, histoire que la partie ne s’éternise pas plus qu’elle ne devrait.
Quoi qu’il en soit, dans son registre de divertissement intergénérationnel, Spots ou encore ! marque un joli petit point noir.
Une bonne surprise avec un puzzle mental bien pensé, que l’on ait gagné ou perdu, on peut apprécier la construction de notre donjon, d’autant que les illustrations sont plutôt agréables.
J’apprécie que modérément le mécanisme de sélection d’actions qui est à base de dés, vous ne pouvez prendre que les tuiles qui sont dans l’alignement du dé, si bien que parfois dans l’ordre du tour, vous prenez un peu ce qui va rester. Je n’ai pas eu l’impression de maîtriser ma construction, mais plus de m’adapter.
Toriki nous garde captif de son île par sa proposition narrative hybride bien calibrée. À l’instar d’un film d’aventure bon enfant et grand public, c’est un jeu que les adultes pourront partager avec leurs kiddos avec plaisir. On a bien envie d’y retourner et de découvrir ce qu’il y a de l’autre côté de la rivière…
Eaux profondes a plus de qualités que son aîné, est plus satisfaisant aussi, mais il ne propose pas d’expérience qui me bouleverse complètement comme le premier l’a pu faire. Je suppose que ceci est dû au fait que je n’ai pas découvert ce système d’action et de personnages qui, pour le coup, brille vraiment ici.
Behind est un jeu d’énigme qui sait se renouveler d’un scénario à l’autre, qui n’utilise pas d’appli, le plaisir de trouver, récompensé par une belle image comme résolution est une belle idée, mais l’inventivité ne se borne pas à ce dernier moment de votre partie, chaque moment est plaisant. C’est frais, et c’est bien.
J’apprécie beaucoup le jeu, tout simplement. Il a quelque chose qui sort du lot et présente tout ce que je recherche dans un Eurogame : un jeu avec une énorme courbe de progression, une interaction très forte où l’on joue avec les autres et pas juste les yeux rivés sur son plateau personnel.
Dragardiens a été une bonne surprise pour mon groupe de joueurs et moi-même. Plutôt amateur de jeux initiés je pensais vite m’ennuyer avec ce petit jeu de collection aux règles extrêmement simples, mais ce ne fût pas le cas.
Si le jeu est agréable à deux, le fait d’être premier joueur n’a pas vraiment d’importance et l’on n’a pas réellement de pression, on va plutôt essayer d’optimiser au mieux. À plus de joueurs, les tuiles qu’on vous chipe sous le nez font déjà plus grincer des dents. Un jeu simple et efficace (et beau).
Jeu d’ambiance et de paris mêlant à la fois le principe du Perudo (estimer le somme des valeurs), l’amélioration de sa main et la chance aux dés, voilà un petit jeu parfait pour l’été. Il correspond pile aux critères du moment avec des règles simples, des parties rapides et malgré tout une légère tension dans les lancers.
Si vous cherchez un jeu d’ambiance pour rigoler, ce ne sera pas celui-là. Il est très plaisant, mais peut vous nouer le cerveau par instant. [...] J’avoue que dans ce genre d’exercice je décroche vite, mais force est de constater que cet Infiltraîtres donne envie de se replonger dans la partie, le thème, même esquissé, aidant à l’exercice.
Ce Dékal, va à son tour tenter de prendre la place du calife ou au moins de bénéficier de l’effet Skyjo. Comme chez son modèle, on navigue à vue. Si vous aimez le premier, alors pourquoi pas.
Un jeu abstrait qui mêle gestion de pouvoirs et tir à la corde. Petit format et joli matériel. La jugeote n’est pas dans la boîte, à vous de la pêcher.
Pour les amateurs de jeux de cartes simples, c’est mort, pour les autres, il va falloir creuser pour entrevoir la subtilité de la partie. Plusieurs essais plus tard, on tourne autour, on a l’impression d’avoir compris un truc mais, en réalité, on ne s’amuse pas.
Un principe qui fonctionne bien dans un titre comme Rockband, avec la différence que ce dernier est à destination des enfants de 4 ans. Pour les grands, jouer à Karakum est un mirage ludique.
Les plus habitués au 4X trouveront probablement l’expérience un peu basique et sans surprise, mais Diluvium s’avère un excellent point d’entrée dans le genre 4X. Sa simplicité et sa rapidité en font une option idéale pour faire découvrir les jeux de plateau modernes et le genre 4X
Avec Marie Curie, ce second épisode de Sur les traces de… réussit son mélange, celui de rendre hommage à un thème pas forcément facile et d’en sortir un jeu amusant, dynamique et, on n’aurait pas parié dessus, avec l’envie d’y retourner. S’il l’effet « waow » du premier n’est pas présent, il s’en tire fort honorablement.
Le jeu fait naturellement mouche à la maison, grâce à ces chats si mignons, mais pas seulement. Surtout grâce à ses qualités intrinsèques, Kyoto no Neko est simple à prendre en main et à expliquer, mais il est surtout fun à jouer. Il mélange le plaisir de l’exploration, du développement avec ce chat que l’on fait évoluer comme bon nous semble.
La dopamine de la progression que recèle le jeu est puissante, donnant envie d’enchaîner les runs pour aller plus loin, voir quelles surprises nous ont été réservées. À force, il peut y avoir un côté un peu répétitif, selon votre penchant naturel et votre acharnement spontané en matière de retry. 😉 Quoi qu’il en soit, cette proposition marque un vrai tournant en matière d’adaptation vidéoludique à mon sens.
Tower Up fait partie de ces jeux aux règles épurées qui pourtant recèlent une bonne profondeur, le genre de jeu où vous démarrez la partie en ayant quelques idées préconçues, sur son opportunisme. Puis en jeu vous percevez les petites finesses. Un petit bijou d’épure pour qui aime le placement à l’ancienne.
Pour conclure, le jeu est surprenant et mérite le coup d’œil, c’est plus malin qu’il n’y paraît avec les sets Mécènes supplémentaires. L’expérience devrait convenir à un public familial, le tout s’avère bien amené pour un premier deck-building. Par contre si vous voulez jouer uniquement entre joueurs plus confirmés, Avant Garde risque de vous laisser un peu froid une fois la découverte passée, vous risquez de tourner un peu vite en rond.
J'ai le sentiment que Pirates de Maracaibo réussit avec brio son pari d’ouvrir le jeu à la fois au public initié et expert. Si vous détenez le précédent opus, faut-il le revendre ? Je répondrais oui si votre principal souci était la lourdeur et la longueur des parties, car c’est bien là que la magie opère.
C’est bien un fruit mûr et juteux que nous avons là !
Le jeu est initié et on comprend pourquoi, les personnages et leurs effets sont nombreux et il est bon de les connaître pour mieux répondre ou se donner une direction. Plusieurs parties plus tard, avec une meilleure maîtrise, nous restons pourtant sur notre faim. À l’instar du précédent titre de la gamme Gold n crash, 5 royaumes se montre malin, affiche un terreau ludique fertile, mais peine à convaincre.
Voilà un jeu familial tout bête (comme cochon) qui procure sa dose d’amusement. Ce que l’on demande. Il était idéal pour l’été, il est arrivé à la rentrée. Pas grave, on y jouera à la récré.
À la fois mental et drôle, cet exercice de style est une réussite. Qui n’est, par contre, pas destiné à tout le monde, il faut savoir jongler avec les mots, leur sens, ce qui n’est pas toujours évident.
Rien de neuf sous le soleil (qu’on aura cherché cette année) ludique du mois de juillet avec ce titre fonctionnel. Dans la veine (ici tendance phlébite) de Poule Poule, Foxy ou Tropico.
Édition soignée pour ce jeu néanmoins trop chaotique. On s’y amuse quelques manches mais il devient également vite répétitif. Sans dire qu’il est rat-é, il est un tantinet rat-dondant.
Je n’ai pas eu le coup de cœur et je pense que je m’en lasserai assez vite, mais ça reste un bon euro pas trop complexe pour initier des joueurs par exemple.
Je cherchais un jeu coopératif offrant des moments de convivialité et sans campagne. Mission accomplie. Via ses vidéos réussis et ses règles vite assimilées, Sparkriders 3000 propose des parties funs, qui sauront vous détendre, avec du challenge, mais sans vous faire vriller les neurones.
Après plusieurs parties en tentant des stratégies puis d’autres, la proposition du jeu m’a semblée solide. Il ne faut pas s’attendre à un Paper Tales : On est dans une gamme familiale, un peu plus épurée que Fantasy Realms, avec sa part d’aléatoire bien présente.
Le côté organique du jeu le rend cool, frais, mais il est aussi un peu plus abstrait que ses homologues. Difficile de se dire qu’on le recommanderait à tout le monde : il faut un peu d’expérience pour l’aborder, que ce soit en jeu de société ou en jeu de cartes. J’aime beaucoup, j’ai beaucoup de sympathie pour l’univers, l’équipe et la démarche, mais je ne suis pas certain que ce soit LE jeu universel.
Stickers marche très bien chez nous, on enchaîne pour le moment les parties dès que l’on peut. On passe un très bon moment. À voir si ça va tenir jusqu’au bout de la campagne.
Pour ma part, je ne dirais pas que c’est un mauvais jeu, d’ailleurs je l’ai acheté et je le propose régulièrement, d’autant que j’adore le thème avec sa logique de chaîne alimentaire. J’apprécie aussi beaucoup l’exercice de style ultra épuré. Mais (oui vous le sentez venir, le mais) j’ai du mal à être subjugué par le jeu en lui-même, comme on disait, il y a des situations où le jeu ne marche pas du tout, et finalement on est soumis à l’aléatoire, avec des résolutions un peu bancales. Ce qui donne des parties un peu tristounes par moment.
J’apprécie l’exercice de style qui a conduit à la création de Good little Hunters proposé en PnP gratuit au public, qui est devenu ensuite le jeu que l’on connaît. Maintenant, je ne vois pas ce qui le distingue d’un autre jeu du genre et je me demande s’il fera vraiment date, mais ça seul l’avenir nous le dira. - Atom
Dans Mystria, je me trouve trop contraint par le jeu à focaliser mon attention sur un seul axe alors qu’il propose une grande liberté d’action. Je trépigne comme un cheval avec des œillères. Pas très agréable.
C’est justement ce strict minimum qui est sa force et sa distinction. Pas de pouvoir à résoudre, encore plus minimaliste que du japonais. Brett Gilbert et Matthew Dunstan ont crée ce jeu qui est dans doute le plus simple de leur collaboration, qu’il faut prendre avec cet espèce de méta jeu et espérer que la prochaine partie soit incroyable, car c’est ce qu’il a à offrir, des parties hautes en couleurs et en coups bas. - Natosaurus
Sur les traces de Darwin est une réussite éditoriale. Le matériel est somptueux : illustrations, rangement, qualité des plateaux et des tuiles, livret annexe informatif sur les animaux décrits.
Cela faisait longtemps que j’attendais un jeu de Uwe Rosenberg qui me donne envie d’y jouer et rejouer. Planta Nubo est enfin celui-ci. La coopération avec Keller et Ode a su redonner un peu de souffle à ses derniers jeux qui, pour moi, n’apportaient pas de réelles nouveautés. Un beau jeu, un bon jeu.
Intergénérationnel et simplissime, Salade 2 Points présente, sous ses atours lisses et consensuels, un jeu plus interactif qu'il en a l'air – apanage d'un jeu de collection. La grande force de ce jeu est surtout de pouvoir choisir ses objectifs, et de pouvoir les abandonner quand souhaité : il donne aux joueurs l'impression de faire des choix .
Le jeu révèle sa richesse surtout après la première partie, lorsqu'on utilise les plateaux asymétriques, alors qu'il peut tourner un peu vite en rond si l'on se cantonne au jeu de base. En revanche, sa présence de table et son thème, tous deux intimidants, sont en fait un écrin pour un jeu plutôt accessible.
Le jeu est simple. Il est vraiment adapté à partir de 8-10 ans sans souci. Les parties sont vraiment rapides. Et c'est un jeu de légumes, rien que pour ça, ça vaut le coup de l'essayer.
C'est un jeu méchant et difficile. Un jeu de plis très méchant dans lequel on va builder. Si vous aimez bien les jeux qui font grincer des dents, c'est le type de jeu qu'il vous faut.
C’est une sensation très agréable, assez inédite dans le jeu de pli en tout cas. Cette espèce de contrôle majorité jeu de pli gestion de main qui combine tout ensemble et qui fonctionne bien.
C'est un super jeu aussi, qui est vraiment addictif. Très addictif. Très très addictif. Avec le bon groupe, c'est difficile de s'arrêter. C'est assez plaisant. Un jeu feel-good où tout le monde va pouvoir dire « Tiens, c'est ça ma stratégie, je vais pouvoir intervenir. » Donc vraiment très très chouette.
J’ai trouvé ça un petit peu long peut-être. Peut-être un peu répétitif. J'ai pas forcément senti très fort le thème non plus. Le truc important, c'est qu'on a joué à deux. Et je pense que ce n'est pas la même chose, parce qu'à deux, tu sais fortement qui tu vas venir embêter.
Un jeu qui me propose cette excitante vie qui n’est pas mon quotidien est une sacrée bonne idée !
Ce jeu est plus clinique qu’un autre, mais au moins, il pousse le concept loin en nous proposant du vraisemblable, du tangible.
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